15 mai 2012

NEWS: AC/DC, pas d'album avant une année ou deux !





Merci au site H2ACDC pour l'information:

Rares sont les apparitions publiques de Malcolm Young. Mais à l'occasion d'un voyage en famille sur l'ile de Harris (Ecosse) afin de renouer avec ses racines, Malcolm a confié qu'il travaillait effectivement sur le successeur potentiel de Black Ice. Non sans très vite préciser pour autant que les fans devront s'armer de patience..


''Vous connaissez Brian, il parle souvent très vite et puis... 
Cela prendra au moins un an ou deux.. Je travaille actuellement sur des riffs mais je fais ça tout le temps, comme les autres membres du groupe d'ailleurs. Nous nous sommes habitués à de longs breaks entre les sorties de nos albums et nous en avons besoin, pour récupérer."
Egalement interrogé sur une éventuelle tournée, il a confié qu'elle ne serait, quoi qu'il en soit, pas de l'ampleur de la tournée Black Ice (qui a duré près de deux ans). Et son fils Ross d'ajouter : ''ce sera probablement plus court, un an ou dix-huit mois tout au plus. La dernière fut vraiment très longue...".
Questionné sur la nature de son voyage en Ecosse, Malcolm est revenu sur ses racines écossaises: ''Au fond de moi, je me sens Ecossais. J'adore revenir ici. Nous n'étions jamais venus sur les îles de l'ouest. C'est vraiment très joli.  "

14 mai 2012

LIVE-REPORT: METALLICA @ Stade de France, Paris, 12 Mai 2012

                                    Les premières rumeurs sur un concert parisien du groupe METALLICA en Mai 2012 à Paris ont émergées assez tôt dans l'année 2011, en effet, dès le mois d'Août, nous commencions à en parler sur Rainy Paradise tant les bruits de couloir commençaient à se faire nombreux. Ce n'est qu'après presque six mois que le concert fut officialisé, c'était désormais sur, James Hetfield et ses potes seraient au Stade de France le 12 Mai 2012 pour fêter les 20 ans du mythique Black Album, qui sera joué dans son intégralité pour cette occasion. 80 000 personnes, des litres de bière et quatre cavaliers prenant d'assaut l'immense Stade de France, la grande bataille orchestrée par METALLICA a laissée des traces.

12 Mai 2012, 14h, je déambule accompagné de quelques amis autour de cette grande bâtisse qu'est le Stade de France, les commerçants présents diffusent pour la plupart la même musique, celle de METALLICA, pour qui 80 000 personnes se sont déplacées aujourd'hui. L'ambiance est bonne enfant, alcoolisée pour certains mais qui s'en fout ? C'est un jour de fête bon dieu, tout le monde est fier d'arborer son t-shirt du groupe, fier d'être présent aujourd'hui, fier d'être fan. L'ambiance promet d'être explosive, des cris de joie résonnent de part et d'autres du stade, et certains dans un excès de joie dévoilent des parties de leur anatomie au Petit Journal de Canal +, venu filmer les fans pour cette grande occasion. Histoire de faire les choses comme il faut, METALLICA a également jugé bon de ré-introduire le Snake Pit ( ndlr: petit espace devant la scène formé par deux avancées centrales qui se rejoignent et réservé aux petits chanceux ) présent sur la tournée ayant suivi la sortie du Black Album en 1991 !

Les portes du stade s'ouvrent à 17h30 laissant enfin les fans pénétrer les lieux et se retrouver face à la scène, le rêve de tous devient encore une fois, un peu plus une réalité. En première partie, nous retrouvons GOJIRA ( ndlr: actuellement en tournée Française ), groupe Landais connu de tout bons fans de METALLICA, en effet, le groupe a su se faire connaître outre les limites françaises et s'est déjà retrouvé en première partie de METALLICA dans le cadre de leur tournée Nord-Américaine en 2009. L'accueil réservé au groupe est très bon, ces derniers jouent un Death Metal aux tendances Thrash et Progressif très plaisant, l'ambiance dégagée par la musique jouée est lourde et très impressionnante. Certains fans de METALLICA ne s'y trompent pas et commencent à lancer quelques mouvements de foule, GOJIRA est heureux d'être ici et le rend bien aux fans présents. Hélas, les trente minutes accordées au groupe passent trop vite et ce dernier quitte la scène précipitamment, sous les applaudissements. " Nous sommes heureux d'être ici, avec vous, au Stade de France, quel honneur ! " confiait Joe Duplantier, chanteur guitariste du groupe, tu m'étonnes !

Hélas, l'accueil réservé par les fans de METALLICA au second groupe de première partie auto-proclamé de " rock garage ", The Kills, laisse à désirer. Le groupe joue sous les huées, devant une forêt de doigts d'honneur. La faute peut-être à une qualité musicale globale qui n'a rien à voir avec l'univers des personnes présentes aujourd'hui et surtout à un bordel sans nom sur scène. Certes, c'est rigolo de faire des bruits bizarres avec une guitare, de créer des structures musicales qui sortent des sentiers battus. Hélas, la cohésion ne reste t-elle pas une priorité ? Pas pour The Kills apparemment qui insiste dans cette voie, proposant des morceaux qui n'inspirent qu'eux, un air quelque peu arrogant sur scène, c'est trop ! Le chaos est total que ce soit dans le public ou du côté des musiciens, qui bouclent ce set avec le morceau " Fuck The People ", donnant l'occasion à Alisson ( ndlr: chanteuse du groupe ) de pratiquer quelques gestes insultants afin de rendre au public ce qui lui appartient. Qui doit-on blâmer ? Je vous en laisse seuls juges.



21h15, l'heure de la délivrance pour les 80 000 fans présents aujourd'hui, l'intro " Ecstacy Of Gold " ( ndlr: issue de la B.O du film " Le Bon, La Brute et Le Truand " ) résonne dans l'enceinte et est reprise en choeurs par tout le public, le premier grand moment de communion entre les fans et le groupe qui envahit la scène sous les acclamations. " Hit The Lights " et son intro assourdissante assurée par la batterie de Lars Ulrich lance les hostilités, le public se laisse porter, c'est enfin parti pour 2h10 de puissance à l'état pure. " Master Of Puppets ", grand classique du groupe est jouée sans temps mort juste après le premier morceau, la folie est totale, le groupe semble nous promettre une bien belle soirée à travers une interprétation sans faille ! " No Remorse " issu du premier album du groupe ( ndlr: " Kill 'Em All! " ) vient combler les fans de la première heure et est suivi par la cloche de " For Whom The Bell Tolls " qui résonne dans le Stade de France, Robert Trujillo attaque le début du morceau à la basse, les notes sont hurlées par les spectateurs présents, le concert prend définitivement un tournant épique. Les guerriers sont dans l'arène, prêts à tout pour impressionner leur roi. " Hell and Back " issu de l'EP " Beyond Magnetic " ( ndlr: sorti fin 2011 )  fait suite à ce début de concert apocalyptique. Malgré la " jeunesse " de ce morceau, je surprends certains en plein headbanging en train d'hurler les paroles à qui veut bien les entendre.


Le son semble malheureusement un peu surmixé au niveau de la batterie, il est arrivé que l'on peine à entendre les guitares sur certains passages. Le groupe quitte la scène et nous laisse avec un petit film retraçant la genèse du " Black Album " à l'honneur ce soir. " Struggle Within " sera le premier morceau de l'album à être joué, le public répond présent et donne un visage encore plus électrique à ce morceau déjà bien énergique. S'en suivront les célèbres " The God That Failed ", " Sad But True ", " Wherever I May Roam " ou encore " Nothing Else Matters ", tant de morceaux ayant marqués les fans de METALLICA et qui pour certains n'avaient pas encore connus d'interprétation live en France. Les yeux brillent, les voix des spectateurs se mêlent à celle de James, le moment est beau et chacun l'apprécie comme il se doit. Petite anecdote pour les plus curieux: le Black Album a été joué à l'envers, c'est donc " Enter Sandman " qui a clôturé ce bel hommage aux 20 ans d'existence de l'album, avec une interprétation tout en puissance, une grande communion avec le public et des flammes de part et d'autres de la scène qui viennent réchauffer le spectateur et rajouter de l'intensité à ce concert.

Le groupe quitte la scène et lance l'intro de " Battery " en fond sonore avant de revenir nous asséner ce classique dans la tronche, malgré la fatigue, le public suit une nouvelle fois le groupe et donne tout ce qu'il a. METALLICA nous offre également un magnifique lightshow composé de lasers durant leur interprétation tout en beauté de " One ", des feux d'artifices viennent offrir plus de puissance scénique durant l'introduction du morceau et se mêlent aux sons de champ de bataille déjà présents dans la version studio. James se lance dans un discours à la fin du morceau et parle du lien entre METALLICA et la France et s'étonne qu'il aura fallu 30 ans pour que le groupe donne un tel concert en France. Les lumières du stade s'allument à la demande de James et c'est parti pour un " Seek & Destroy " de folie, dernier morceau avant que le groupe ne quitte son public, chacun donne tout ce qu'il a, une dernière fois.

Les salutations, photos et distributions habituelles de mediators sont effectuées, chaque membre du groupe remercie le public au micro et quitte la scène, chacun rentre chez soi, des images plein la tête, les oreilles qui sifflent et les yeux qui brillent.



Si il y a bien une chose qui n'est pas parfaite sur cette terre, c'est bien un concert de METALLICA. Kirk Hammett peut être amené à faire quelques pains, Lars peut oublier qu'il a une batterie devant lui et surement qu'il existe des centaines de personnes sur terre pouvant jouer du METALLICA mieux que le groupe lui-même. Mais soyons honnêtes, comment pouvons nous envisager une seule seconde que ces mecs soient des manches ? La magie qu'ils arrivent à mettre dans leur musique est unique, peu importe qu'ils merdent de temps en temps, ce qu'arrivent à créer Lars, James, Kirk et Robert sur scène va plus loin qu'un simple talent musical. Ces types sont des conducteurs de magie, branchez les ensemble et vous passerez un moment inoubliable. Alors oui, j'en ai marre de lire du mal du jeu de Kirk et Lars, j'en ai marre de lire que Trujillo ne colle pas à METALLICA, j'en ai marre de lire du mal de METALLICA. 


Certes le concert de hier soir n'était pas parfait, ces erreurs citées plus haut étaient présentes, le groupe était presque " hésitant " pour ce premier passage au Stade de France, peut-être même que la communion avec le public était moins puissante que lors d'un concert en salle. Mais savourez ces moments, car METALLICA arrive à la dernière étape, celle ou il faut apprendre à tenir un Stade tout entier qui vient pour ne voir que vous, ce n'est pas facile et le groupe a relevé l'épreuve avec brio. J'ai vu des fans pleurer en entendant " No Remorse ", j'en ai vu d'autres hurler de joie lors d'un solo de Kirk et d'autres simplement sourire comme des gamins à Noël devant leurs cadeaux en voyant arriver Lars derrière sa batterie. 


METALLICA représente tout ce qu'un groupe doit être, c'est dans leurs défauts et leurs qualités qu'ils arrivent à créer cette magie qui les caractérise, vous pouvez fermer les yeux durant leur concert et vous laisser transporter vers un autre monde, le leur. Ce n'est pas juste un concert à vivre, c'est une expérience. 


Pour terminer, je citerais la réponse d'un fan à la caméra du Petit Journal par rapport à la question: " C'est quoi METALLICA ? "


" La vie. "


La messe est dite je crois...

PHOTOS: METALLICA.COM

Hit The Lights
Master Of Puppets

No Remorse

For Whom The Bell Tolls

Hell And Back
The Struggle Within
My Friend Of Misery
The God That Failed
Of Wolf And Man
Nothing Else Matters
Through The Never
Don't Tread On Me
Wherever I May Roam
The Unforgiven
Holier Than Thou
Sad But True
Enter Sandman

Battery

One

Seek And Destroy

10 mai 2012

LIVE-REPORT : NIGHTWISH @ Nantes, Zénith, 18 Avril 2012



Alalala, NIGHTWISH...

Il y a des groupes qui sont catégorisés comme " pour ados ", le genre de sonorités qui vont plus parler à des êtres de 14 - 15 ans qui, dans la fleur de l'âge du poil se trouvent une âme presque philosophe, et décident de partager leur sagesse sur un Skyblog ou sur Facebook. Grand bien leur fasse !

Je me rappelle de mon adolescence, très " AC/DC et Led Zeppelin c'est bien, les autres c'est de la merde ".
Un jour, un ami me ramène un CD gravé avec toute sorte de groupe de Metal dessus et me conseille d'y jeter une oreille, que je pourrais être surpris. Sur la galette se trouvaient les morceaux " Nemo " et " Phantom Of The Opera " de Nightwish et je dois avouer qu'a la première écoute, du haut de mes treize ans et demi, j'avais trouvé ça presque sympa mais sans m'y attarder, cataloguant vite le groupe de la même manière que je l'ai fait au début de cette chronique.

" Moi ? Aimer Nightwish ? Tu bluffes mec ! "
" Je dépenserais pas un rond pour aller voir cette chiasse de lémurien sur scène ! "

Puis vint le 16 Avril 2012, deux invitations pour le show du groupe à Nantes me tombent sur les bras. Que faire ? Rester un con fini et ne pas bouger de chez moi pour écouter de la vraie musique ? Ou bien, faire l'effort au moins d'y aller pour voir les copains ? Vu qu'il y a que les abrutis qui changent pas d'avis, je me suis déplacé à Nantes le 18 Avril 2012.

Arrivé dans le Zenith, les gradins semblent s'imposer, je ne vais pas non plus rester debout et souffrir des pattes pour voir de la soupe. La première partie, répondant au joli petit nom d' EKLIPSE ( ndlr: avec un " k " pour le côté torturé ), débarque sur scène. Pas de batterie, pas de Marshall, je commence à avoir la tête qui tourne. Sur scène, juste quatre Lolitas ( ndlr: côté torturé j'ai dis ! ) avec de bien beaux cuisseaux, armées d'un violoncelle et de trois violons. Elles nous servent, je dois avouer, de très belles reprises instrumentales pleines de bons sentiments de morceaux de Lady Gaga, Linkin' Park et autres Justin Timberlake. Bon, ça casse pas trois pattes à un canard mais c'est sympathique. Peu de temps après, l'autre première partie répondant au doux nom de BATTLE BEAST envahit la scène, des gros riffs bien Heavy, du chant ou le Bending est roi, c'est simple, efficace, presque cliché mais ça marche.

Le groupe sorti de scène, un gigantesque rideau cache la scène avant l'arrivée de Nightwish, celui-ci semble être fait à base de collage de mouchoirs blancs, très spécial. Un ami m'envoi un texto durant l'attente: " Ah, bah, je comprends où est passé le PQ ! " Qu'est ce qu'on rigole à un concert de Nightwish !

Un instrumental résonne dans la salle, alors que le rideau se soulève petit à petit, porté par un léger sirocco ( ndlr: puisque je vous le dis ! ). Tout prend une autre tournure alors que le groupe fait son entrée sur un morceau épique bourré d'énergie, la pyrotechnie prend possession de la scène, Anette semble en voix et le son est excellent. Je commence à me dire que je vais surement passer une bonne soirée.

Pas loupé, le clavier de Tuomas Holopainen ne me dérange pas, moi qui ai toujours eu un problème avec les groupes à claviers, ici ça passe tout seul, les sonorités sont très belles et nous plongent dans l'univers de Nightwish déjà très appuyé par le décor sur scène. Le groupe nous prend par la main et nous emmène, petit à petit, dans un autre monde, le leur. On se retrouve plongé dans un moment de fête très plaisant, et je dois avouer que j'ai été très surpris quant à mon ressenti général face au groupe ce soir là.

Le bassiste Marco Hietala est fait pour la scène, le bougre à de l'énergie et du talent à revendre, suivant ou remplaçant Anette au chant sur certaines chansons, il communique constamment avec le public et semble donner la moindre parcelle d'énergie aux gens venus applaudir le groupe ce soir là.

Derrière sa batterie, Jukka Nevelainen impressionne et prouve qu'il est un batteur de talent, tout comme ses compères, il déborde d'énergie et est servi par un son exemplaire. Chaque coup porté à son instrument assène une pression à l'auditeur, coup toujours exécuté avec un touché de monstre. Je ne peux malheureusement pas en dire autant d'Emppu Vuorinen, qui malgré le fait qu'il semble être un très bon guitariste, est presque mis à l'écart, certes il joue mais peu ! Quelques soli de haut niveau par-ci, une petite touche rythmique par là, une communication avec le public presque inexistante. Je ne sais pas, ce mec m'a semblé être une cerise sur un très bon gâteau, il est la petite touche qui manque à certains morceaux, son utilisation est donc justifiée et appréciée mais sitôt qu'il a fait son travail, on se retrouve avec un goût amer dans la bouche, puisque comparé à ses camarades, Emppu a juste l'air de faire le boulot, il n'a pas ce petit " plus " Live et c'est bien dommage ! Lui donner plus de crédit ne serait-il pas judicieux ?

Sur scène, un écran géant diffuse une illustration représentant l'univers de la chanson jouée ( à la manière de Iron Maiden avec le rideau de fond de scène qui change suivant le morceau ). Le groupe alterne entre morceaux de haute-volée, presque épiques avec des chansons plus calme, plus réfléchies, dès fois acoustique, moment privilégié qui permet au groupe de transporter encore plus le public dans son univers grâce a de somptueuses sonorités. Ces derniers ont d'ailleurs fait appel à Troy Donockley ( ndlr: présent au sein de Nightwish depuis l'album " Dark Passion Play " ) et à sa cornemuse Irlandaise qui vient accompagner le groupe sur la plupart des morceaux, leur donnant encore une fois, une profondeur Live insoupçonnée.

Le groupe termine le concert sur leurs morceaux les plus " virulents " et offre au spectateur une dernière dose d'énergie. La pyrotechnie est utilisée à outrance, le tout se veut encore une fois " épique " à souhait, des frissons traversent l'audience entière qui hurle les paroles à qui veut bien les entendre. C'est une dernière traversée dans l'Imaginaerum ( ndlr: titre du dernier et très bon album du groupe ) avant de faire le voyage retour et se rendre compte, arrivés sur le parking, que ce voyage valait le déplacement !

Je tiens donc à m'excuser publiquement auprès de Nightwish, que j'avais très mal considéré de part mon expérience avec leurs albums studios. Le groupe a offert au public de Nantes une excellente prestation, bourrée d'énergie, de sentiments et de sincérité. Le voyage avec eux s'est fait sans encombre et a été l'occasion de découvrir de nouvelles choses qu'on ne soupçonnerait pas aux premiers abords. Si ils repassent près de chez vous, ne réfléchissez pas et foncez vivre cette bouffée d'air frais dans le monde de Nightwish, d'où l'on ne revient pas forcément entier.

SET-LIST: 

  1. Taikatalvi 
  2. Storytime 
  3. Wish I Had an Angel 
  4. Amaranth 
  5. Scaretale 
  6. The Siren 
  7. Slow, Love, Slow 
  8. I Want My Tears Back 
    (with Troy Donockley)
  9. The Crow, the Owl and the Dove 
    (with Troy Donockley)
  10. The Islander 
    (with Troy Donockley)
  11. Nemo 
    (with Troy Donockley) (acoustic)
  12. Last of the Wilds 
    (with Troy Donockley)
  13. Planet Hell 
    (incl. snippets of Stargazers)
  14. Ghost River 
  15. Dead to the World 
  16. Over the Hills and Far Away 
    (Gary Moore cover) (with Troy Donockley)
  17. Encore:
  18. Finlandia 
    (Jean Sibelius cover) (with Troy Donockley)
  19. Song of Myself 
    (without part 4)
  20. Last Ride of the Day 

NEWS : Black Sabbath sort son Best-Of.



Prévu pour le 4 Juin prochain, " Iron Man, The Best Of Black Sabbath " regroupera les plus grands classiques du groupe, que vous retrouverez à l'O2 Academy de Birmingham le 19 Mai, ainsi qu'au Download Festival (Royaume-Uni) en Juin.

Pour rappel, la tournée Européenne ( qui prévoyait un Bercy + une prestation au HELLFEST ), fut annulée par rapport aux problèmes de santé de Tony Iommi.

Track-list du Best-Of:

01. Paranoid (from "Paranoid")
02. Iron Man (from "Paranoid")
03. Changes (from "Volume 4")
04. Fairies Wear Boots (from "Paranoid")
05. War Pigs (from "Paranoid")
06. Never Say Die (from "Never Say Die")
07. Children Of the Grave (from "Master Of Reality")
08. The Wizard (from "Black Sabbath")
09. Snowblind (from "Volume 4")
10. Sweet Leaf (from "Master Of Reality")
11. Evil Woman (Don't Play Your Games) (from "Black Sabbath")
12. Sabbath Bloody Sabbath (from "Sabbath Bloody Sabbath")
13. Black Sabbath (from "Black Sabbath")
14. N.I.B. (from "Black Sabbath")

Un nouveau RAINY PARADISE

Cette nuit, le site a encore évolué et se retrouve avec un nouveau look global qui j'espère plaira plus que le précédent que beaucoup m'avaient conseillé de changer.

Le site se retrouve donc avec son propre logo, une navigation simplifiée, un nouveau système de commentaires, et un tout nouvel arrière-plan qui changera suivant les concerts assurés par notre équipe. 

Donnez votre avis sur cette nouvelle version afin que je puisse la modifier suivant vos remarques, c'est aussi votre site après tout ! ;) 

En espérant que ce nouveau Rainy Paradise vous plaise, je vous souhaite une bonne navigation ! 

9 mai 2012

NEWS: Des morceaux du prochain album de SLASH disponibles !



Au rythme d'un morceau par jour, SLASH permet à ses fans de découvrir un nouveau morceau de son prochain album, " Apocalyptic Love ", grâce à un ingénieux système de partage sur Facebook, un inédit est disponible en streaming pendant 24h.

Il n'en fallait pas moins pour que des petits malins trouvent le moyen de conserver les chansons sur leur disque dur et donnent ce contenu à tout le monde.

Je vous propose donc de découvrir deux nouveaux extraits du prochain album de SLASH, la chanson éponyme Apocalyptic Love et One Last Thrill.

Apocalyptic Love:


One Last Thrill:





MISE A JOUR:  Rajout de Standing In The Sun !



MISE A JOUR (2) : Rajout de No More Heroes !



Votre avis sur ces morceaux ?