Il est temps de rentrer dans la salle, là encore l'intérieur est décoré aux couleurs d'AC/DC de bien belle façon.
On attend quelques instants, le temps de discuter et de se boire une blonde, je regarde la salle avec une certaine fascination, beaucoup de grands groupe sont passés par ici, les Beatles, les Stones, Queen, Motorhead ainsi qu'AC/DC. Un responsable de la salle apparait sur scène, il nous rappelle à quel point l'HMV Apollo est une salle légendaire puis Ozzy Osbourne apparait sur l'écran. Une allocution pleine d'humour et d'admiration pour le groupe, toute la salle rigole à ses blagues, très bon pour mettre l'ambiance l'Ozzy avec ses "Let's go fuckin' crazy". Il souligne l'énergie d'Angus malgré son âge, sa façon de courir dans tous les sens et il fait scander à tout la salle "AC/DC", c'est à ce moment que Brian, Angus, Malcolm et Cliff montent sur scène. Une brève intervention, Brian prend la parole, remercie le public d'être là et déclare les fans d'AC/DC "The best rock fans of the world", le tout avec la salle en fusion. Le groupe retourne alors s'asseoir et c'est avec grand étonnement que je vois qu'ils sont assis au même niveau que nous à seulement quelques mètres.
" We've got a special song for you Buenos Aires, it's called Dirty Deeds.. Done dirt cheap !"
" This song is about a dirty dirty woman.. Oh yeah, she's nasty. She's so dirty she makes big Jack cry"
"This guy has devil in his fingers and the blues in his soul"
Blague à part, l'intro d'Hell ain't a bad place to be et Whole Lotta Rosie ont provoqué un orgasme auditif incommensurable. For Those About To Rock, les canons "FIIIIIIIRE" " SHOUT" et c'est fini. Le groupe ne refait pas d’apparition, il semble même qu'ils se soient volatilisés au cours de la projection, bien dommage. On sort, tout a déjà été rangé dehors moi qui voulait ramener la Hells Bells pour mon salon... Le temps de se fumer quelques cigarettes devant cette belle salle, de rester un peu avec les fans et il est déja temps de rentrer à l'hôtel (enfin plutôt au bar de l'hôtel), "glouglou", "shout" et au lit.
Merwan Bouzerda
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